Mon nécessaire de couture – Partie 2 : les 10 « pas indispensables mais vraiment pratiques »

Voici la deuxième partie de mon nécessaire de couture. Les 10 outils « pas indispensables mais vraiment pratiques » (désolée je n’ai pas trouvé plus court !). La première partie, les 10 outils indispensables est disponible ici.

Cette liste présente des 10 outils sans lesquels on peut coudre, ceux qui ne sont pas absolument vitaux mais qui m’ont changé la vie (rien que ça !). Ils permettent un gain de temps ou de plus jolies finitions. Ces accessoires ne sont pas tous nécessaires pour démarrer la couture, ils peuvent être achetés (ou pas) au fur et à mesure, en fonction des projets et des besoins.

1. Un cutter rotatif et un tapis de coupe

Sans hésitation les premiers de cette liste. Je les utilise presque pour chaque cousette. Pour couper les bords droits des accessoires, pour découper les matières qui « bougent » comme jersey ou la viscose, mais aussi pour découper celles qui ne bougent pas ! En fait je ne sais pas pour quoi je ne les utilise pas.

J’ai deux tapis de coupe : un petit de 60 x 45 cm et un grand de 90 x 60 cm. Un seul suffirait (le grand). J’avais d’abord acheté le petit, en même temps que le cutter rotatif, mais à l’usage il est rapidement apparu que ses dimensions ne suffisaient pas pour couper des pièces de vêtement. J’ai donc acheté le grand.

J’ai deux cutters rotatifs : un de 45 mm de diamètre et un plus petit de 28 mm de diamètre. J’utilise le grand pour les longues lignes toutes droites et le petit pour les courbes.

2. Des poids

Pour la coupe j’utilise souvent des poids plutôt que des épingles. Ce sont de simples rondelles achetées en magasin de bricolage pour pas cher du tout ! Elles font 55 mm de diamètre et je les range dans une mignonne petite boite pour toujours les avoir à portée de main sur la table de coupe.

3. Des petites pinces

Les petites pinces c’est LA solution pour maintenir les matières dans lesquelles les épingles laissent des trous (simili cuir, suédine, tissu enduit…). Mais c’est tellement pratique que cela peut aussi servir pour tout le reste ! Notamment pour coudre avec la surjeteuse sans risquer d’oublier une épingle et la faire passer sous le couteau. J’avais acheté en ligne une grosse boite pour pas grand-chose mais sinon les pinces de bureau font également très bien l’affaire.

4. Du papier à patron

Je suis une adepte des patrons pochettes pour les vêtements, il me faut donc décalquer les pièces. J’utilise pour cela du papier de soie en rouleau et des feutres de couleur. Je sais que celles qui préfèrent les patrons pdf n’aiment pas toujours cette étape mais moi je l’apprécie. Elle me permet de comprendre comment est construit le vêtement, de bien voir où sont les crans et les différents repères, cela m’aide ensuite lors de l’assemblage.

5. Un perroquet

La règle perroquet (ou pistolet) permet de tracer des courbes. Je l’utilise surtout pour le patronage de vêtements ou pour redessiner des pièces. Elle n’est donc pas utile si l’on suit des patrons sans les modifier.

6. Une roulette et du papier carbone

La roulette est un outil de marquage ultra pratique. Elle sert pour reporter les crans de montage, les pinces ou encore les lignes de couture et de découpe.

Je m’en sers pour toutes les toiles pour reporter les lignes de construction et vérifier que le vêtement est bien équilibré. Et sur l’envers de presque tous les vêtements que je couds pour reporter les crans et pinces sur les 2 épaisseurs de tissu en une seule étape.

7. Un appareil à biais

Oui il est possible de faire du biais en dessinant un gabarit dans du papier épais, mais je trouve ça plus facile d’utiliser cet accessoire qui est disponible dans tout plein de tailles.

8. Un enfile aiguille

Je ne m’en sers que rarement mais quand j’en ai besoin il me sauve. Dernièrement je l’ai utilisé pour enfiler du fil épais à surpiqûre dans le chas de l’aiguille de la machine à coudre (article disponible ici).

9. Pince Kam ou Vario

J’ai une pince Kam depuis plusieurs années que j’utilise régulièrement pour poser des pressions en résine. C’est si facile et pratique, j’adore !

L’an dernier le père Noël m’a apporté une pince Vario, polyvalente elle permet de poser différents types de pressions, des oeillets, des rivets et de percer les tissus.

10. De la mercerie

Avoir des fermetures à glissières de différentes tailles et couleurs, des boutons, des pressions, du fil, de l’élastique… C’est toujours pratique de ne pas avoir besoin de courir à la mercerie à chaque nouveau projet. Mais attention ! Le revers de la médaille est un stockage compulsif de fournitures (ce dont je parle de façon purement théorique car je ne vois absolument pas de quoi il s’agit… 😉 )


En voilà du bazar ! Je referai bientôt un nouvel article dans la série « atelier » pour partager mes « astuces » préférées pour ranger toutes ces petites affaires.

Et toi, quels sont tes gadgets chouchous en couture et tes trucs pour les ranger ?

2 Commentaires

  1. Hibbis

    Je suis tout à fait d’accord avec la liste et moi non plus je ne vois pas du tout de quoi on parle avec un stockage compulsif de fournitures …

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    • L'ananas filant

      Oui je suis sûre que ce sujet t’est complètement étranger !!! Ha ha !

      Réponse

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